Deux femmes font régresser un homme

Catégories : Diaper couple, plusieurs, lesbiennes Diaper boy / Little boy
il y a 6 ans
Deux femmes conditionnent le mari de l'une d'elle en bébé, et elles le font régresser jusqu'à un point de non-retour...

Un jour que je me promenais en plein centre ville de Tours, une jeune femme attira mon attention par sa tenue, que je qualifierai de singulière. Elle portait une de ces tenues caricaturales d'écolière, alors qu'elle devait avoir une bonne vingtaine d'années. J'ai aussitôt pensé, en ce début septembre, qu'il devait s'agir d'une espèce de bizutage, ou encore, comme on était samedi, d'un enterrement de vie de jeune fille qui se marierait le samedi suivant.

Pourtant, j'avais beau regarder autour, je ne vis personne en particulier qui la suivait, même du regard, pas de groupe à une terrasse, rien qui ne vienne conforter mon idée première. A priori, cette jeune femme semblait être seule. C'est alors qu'un coup de vent passa sous sa jupe légère ! Embarrassée, elle s'empressa de passer la main dessus pour la remettre en place, mais c'était trop tard ! Je venais, en un coup de vent, de percer le secret de cette fille : elle portait une couche !? D'ailleurs, je me rendis compte que la jupe était bien courte et que le gros paquet dépassait dessous de façon presque ostentatoire.

Je décidais de la suivre un instant, discrètement, histoire de glaner quelques infos et de mettre en place tous les morceaux de ce puzzle inhabituel. Malheureusement, elle pressa le pas et disparut dans la foule. J'ai tenté en vain de la chercher à travers les vitrines des boutiques de la galerie marchande, mais elle venait de clore le jeu de piste.

Pris par la curiosité, en rentrant chez moi, je pianotais sur le moteur de recherche de mon ordinateur « adulte qui porte des couches ».

Et là, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir, outre les problèmes d'incontinence, que certaines personnes aimaient porter des couches, voire même redevenir des bébés. Ce sont, en anglais, les Diapers Lovers : ceux qui aiment porter des couches et des Adults Baby : des bébés adultes. Les sites étaient bien présentés et ne présentaient aucun caractère malsain. Seulement l'envie de partager un moment de tendresse, d'oublier l'espace d'un instant la vie folle des adultes et se laisser changer, nourrir et habiller comme un bébé.

Une phrase retint mon attention :

  • N'avez vous jamais eu envie de serrer un doudou contre vous et de sucer votre pouce comme quand vous étiez bébé ?
  • Non ! répondis-je à mon écran.

Pourtant, ce soir là, je récupérai le soutien-gorge de ma femme dans le panier de linge sale et je le plaquais contre mon nez. Il était imprégné de son parfum délicat. Ravi, je montais me coucher au moment où ma femme éteignait sa lumière. Je m'allongeai à ses côtés, ressortis son soutien-gorge de sous mon tee-shirt de pyjama et le serrai contre mon nez. Je mis mon pouce dans ma bouche et m'endormis.

J'avais épousé Caroline un an auparavant dans un petit village du Finistère. On était venu vivre à Tours parce qu'elle y avait trouvé un travail super intéressant et très bien payé d'assistante de direction d'une PME d'informatique. Je pensais me lever avant elle et remettre le soutien-gorge dans le panier avant qu'elle ne s'en rende compte... Mais, c'est elle qui vint me réveiller... Je tentais en hâte de cacher sa lingerie sous mon oreiller.

  • Est-ce que tu sais... commença-t-elle, la lumière du couloir lui donnait une impression bizarre, où est mon soutien-gorge ? Finit-elle en tirant sur la bretelle qui dépassait de sous mon oreiller.

Elle alluma ma lampe de chevet et découvrit la peau de mon pouce flétrie de sa succion nocturne. Elle récupéra son bien et reprit le cours de son programme matinal. Je restais un instant décontenancé par sa découverte et cherchais un peu honteux une explication à lui fournir quand elle me le demanderait. Car je savais bien qu'elle me questionnerait, tôt ou tard.

En attendant, je cherchais surtout à faire profil bas. Assis devant mon petit déjeuner, je croisais, de temps à autres, son grand regard bleu océan qui ne baissait jamais. D'un coup de tête, elle remettait en place une mèche rebelle de ses longs cheveux noirs comme l'ébène. Elle venait de se maquiller avec une légère ombre « taupe » sur les paupières, un zeste de noir autour de l'œil et un peu de mascara.

Ses lèvres douces avaient eu droit à un rose discret. Elle portait un top noir aux manches trois-quarts avec une fausse boutonnière pour le look sur une jupe courte un peu moulante noire elle aussi. Ses longues jambes se terminaient dans de légères sandales à talon laissant ressortir le rose de ses orteils assorti à celui de ses mains et de sa bouche. Elle avait mis les boucles d'oreilles créoles en forme de cœur que je lui avais offertes l'an passé pour la Saint-Valentin et un collier fantaisie en argile rose, création artisanale d'une de ses collègues.

Caroline semblait me dévisager. Non ! On aurait plutôt dit qu'elle essayait de lire dans mes pensées. Je baissais la tête, regardant mon bol de café au lait et mon pyja-short rouge et noir.

  • Je suis en vacances à la fin de la semaine prochaine. dit-elle soudain. Que vas-tu faire aujourd'hui ?

La question n'était pas anodine. J'étais au chômage depuis notre mariage. Cela faisait un an que je vivais, malgré moi, aux dépends de ma bien aimée. Je balbutiais...

J'ai rendez-vous dans une entreprise de fabrication de matériel de salle de bains et cet après midi avec un concessionnaire moto. Elle pinça des lèvres, signe qu'elle n'était pas dupe de mes mensonges. Pourtant, elle ne dit rien. Elle m'embrassa sur les lèvres et s'en alla. Pour ne pas risquer d'alimenter ses soupçons, je quittais l'appartement rapidement et décidai de ne pas rentrer avant elle. Pour valider mon alibi, je dis un « bonjour » claironnant à la concierge.

Malheureusement, bien qu'essayant de frapper au hasard aux portes des entreprises, je ne trouvais pas la réponse espérée. En plus, toute la journée, j'ai cherché à comprendre cette femme aperçue la veille, tous ces sites sur les ABDL... Et une réponse cohérente au k i d n a p p i n g de soutien-gorge !...

Mais rien ne me vint à l'esprit. J'immobilisais ma voiture sur le parking au pied de l'immeuble et remontais les quatre étages à pied. Je n'avais aucune envie de remonter trop vite avec l'ascenseur.

Curieusement, Caroline ne fit aucune allusion. Elle était même enjouée et très enthousiaste. Toute la semaine, je quittais l'appartement en même temps qu'elle et ne rentrais que bien après. La semaine suivante en revanche, je suis revenu plus tôt. Je voulais voir si par le biais d'internet il m'était possible de prendre des contacts et de gagner du temps.

Malheureusement, ce qui s'est passé, c'est que je découvris des histoires de régressions, de personnes redevenues bébé parfois malgré elles et cela me fascinait.

Je ne parvenais pas à comprendre comment des adultes pouvaient perdre autant leurs facultés contre leur gré ? Certes, ce n'était que des histoires, de la pure fiction, mais je trouvais que, même bien écrites, cela restait un peu gros.

Le jeudi avant ses vacances, ma femme me fit remarquer que je rentrais de plus en plus tôt... Je redoutais une scène, pire, je redoutais ses quinze jours de vacances à venir !.... Je ne dis rien pour ne pas apporter de l'eau à son moulin mais le lendemain, je rentrais une bonne heure après elle... En poussant la porte de l'appartement, Caroline était très câline. Trop câline ?!

  • Alors mon cœur ? Comment s'est passée ta journée ? fit-elle d'une voix langoureuse.
  • Heu... Pas exactement comme je l'aurais souhaité. balbutiais-je.
  • Oh mon bébé ! Je suis désolée ! Je vais m'occuper de toi ! Je t'ai préparé un bon bain. Je te laisse te détendre, tu me rejoins ensuite dans la chambre !?

Je n'avais pas réussi à cerner si la dernière phrase était une question, un souhait ou un conseil très appuyé. J'osais cependant espérer que l'incident de la veille avait été oublié ( je ne pensais plus depuis bien longtemps au soutien-gorge et au pouce) et que tout frais de la senteur noix de coco du gel douche, j'avais des chances de me racheter... Après avoir bien prit mon temps dans une eau bien chaude, je me rinçais, me séchais et enroulais la serviette autour de ma taille, persuadé qu'elle n'allait pas rester en place très longtemps. Quand je suis arrivé dans la chambre, Caroline était allongée sur le lit dans une jolie nuisette en dentelle noire. Elle tenait dans ses mains une paire de menottes...

Mon imagination se dérida soudain, laissant mon sexe lui montrer que ses idées me plaisaient...

  • Viens mon bébé, je vais te faire un gros câlin... murmura-t-elle.

Je m'approchais sans crainte, me laissant lier les poignets. Puis elle me fit allonger sur le lit à sa place. Quand je fus sur le dos, elle sortit du tiroir de sa table de nuit une seringue qu'elle me planta dans le bras.

  • A présent je n'ai plus besoin de ça ! dit-elle en retirant les menottes. Je viens de t'injecter une petite préparation très spéciale qui te paralyse entièrement mais qui te laisse conscient. Je te rassure, c'est du temporaire.

Incrédule, je tentais de me relever mais je ne pouvais effectivement pas bouger.

  • Qu'est ce que tu fais ? A quoi tu joues ? demandais-je en essayant de masquer mon inquiétude.
  • C'est moi qui devrais te demander à quoi tu joues mon bébé ? J'ai fouillé dans ton ordinateur et j'ai parcouru ton historique... Alors comme ça, tu veux redevenir un bébé ? miaula-t-elle.
  • Non ! Non ! J'ai juste...
  • Chhhut ! me fit-elle en mettant un doigt sur ma bouche. Je ne veux plus rien entendre. A ces mots, elle m'obstrua la bouche à l'aide d'une tétine de bébé qu'elle m'attacha derrière la tête avec un velcro. Lààà ! C'est mieux ! Maintenant, je vais m'occuper de toi comme il faut ! elle marqua une pause puis reprit en se dirigeant vers l'armoire.
  • Je suis allée faire des courses.

Elle en sortit un paquet de couches pour adultes, des vêtements que je n'ai pas identifiés tout de suite, des biberons et des jouets qu'elle déposa par terre, au pied du lit. Comme je ne pouvais ni me débattre ni me sauver, tranquillement, elle déchira l'emballage de couches et en sortit une qu'elle déplia lentement devant moi avec un grand sourire victorieux.

  • Bien sûr, ce n'est que du provisoire, me dit-elle.
  • Provisoire ? Que voulait-elle dire par provisoire ?

Elle glissa la couche sous mes fesses après m'avoir soulevé le bassin comme elle l'aurait fait d'un nouveau-né. Elle me tint même les jambes en l'air par les chevilles avec un petit rire narquois qui m'irritait au plus haut point. Elle rabattit la partie avant sur mon sexe avant de se raviser. Elle l'orienta plutôt vers l'arrière, entre mes cuisses et referma la couche. C'était une « Molicare » nuit bien épaisse. Elle ajusta les adhésifs au mieux pour bien me serrer le ventre et regarda son œuvre avec satisfaction en tapotant dessus. Le bruit du plastique me donnait la nausée, j'aurais voulu me lever, l'arracher et la lui jeter au visage ! Mais mes envies de mutineries n'existaient qu'en pensées, réduit à l'état de légume d'un mètre quatre-vingt....

Correction, à l'état de bébé d'un mètre quatre-vingt !

Je pensais que même si elle m'avait piégé ce soir, je ne savais encore comment et je m'en voulais terriblement, il était certain que c'était la dernière fois ! Demain je ne me ferai pas surprendre ! Et même si elle m'avait langé dans un joli paquet bien épais il était hors de question que je fasse dedans !

Malheureusement, la balle n'était pas dans mon camp et ce soir, je ne menais pas le jeu... Caroline ramassa alors un vêtement que j'identifiais vaguement comme un pyjama pour e n f a n t en coton rose. Mais lorsqu'elle le déplia, il ne cessait de grandir ! C'était bien un pyjama pour bébé.... Mais à ma taille !?!

Je fis « non » de la tête, la seule partie de mon corps à ne pas avoir subi cette maudite paralysie. Mais cela ne la traumatisa pas outre mesure : elle glissa mes pieds dans les pieds préformés de la grenouillère et me redressa pour me passer les bras. Elle m'appuya contre son épaule pour tirer le vêtement vers le haut et attacher tous les pressions dans le dos et sur les fesses au niveau de la couche. Son doux parfum, qui jusqu'alors représentait pour moi une partie de sa féminité, se transformait maintenant en une espèce de poivre qui me brûlait les narines s'associant pour le coup à une espèce de démon qui n'avait plus de point commun avec ma femme.

  • Tu dois avoir faim mon bébé ? me murmura-t-elle en me reposant doucement sur le lit. Je m'occupe de ton biberon tout de suite. Ne bouge pas ! Je reviens ! Mon quoi ? Bon je crois que pour ce soir, c'est m o r t , je ne vais pas y couper. Je vais être son jouet jusqu'à dem... Que m'avait-elle dit l'autre soir ?!? Qu'elle était... en vacances ?!? Non ! Elle ne me ferait pas ça pendant quinze jours quand même ?? Jusqu'à demain, admettons !

Je n'appréciais pas, mais si c'était sa façon à elle de se venger, pourquoi pas. J'étais ridicule dans ma grenouillère rose, avec ma couche volumineuse et ma tétine dans la bouche, mais après tout, on était mari et femme et personne n'avait à connaître notre intimité. Caroline revint quelques minutes après avec un biberon qu'elle testa sur le dessus de sa main. La température sembla être à sa convenance car elle s'assit sur le lit, cala un gros oreiller dans son dos et me hissa sur ses cuisses, la tête contre sa poitrine. Elle m'attacha autour du cou un grand bavoir en coton rose et blanc doublé de plastique. Avec une infinie douceur, elle retira le velcro de la tétine et avant que je n'émette une parole me fourra le biberon dans la bouche. Je fis donc contre mauvaise fortune bon cœur et acceptais tacitement, de jouer le jeu : je tétais donc la tétine remplie de lait chaud... Mais le goût inhabituel du lait me le fit recracher !

  • Et bien ! Heureusement que ton bavoir est assez large ! s'exclama-t-elle sans sourciller.
  • C'est quoi ça ? parvenais-je à demander avant que la tétine ne refasse pression contre mes lèvres.
  • Ton repas mon bébé : lait « Guigoz » deuxième âge ! Et tu as intérêt à tout boire !

Le biberon me semblait énorme ! J'avais l'impression que jamais je ne pourrais avaler tout ça, d'autant que le goût me faisait tirer au cœur toutes les trente secondes. Parfois même, j'en rejetais, espérant qu'elle abandonne... mais non, elle maintint le biberon jusqu'à la dernière goutte ! Puis elle me releva et un rot monstrueux sortit de ma gorge. Satisfaite, elle me recoucha, s'absenta à nouveau dans la cuisine et revint quelques minutes plus tard avec... un deuxième biberon de lait !?!

  • Non ! C'est bon ! S'il te plait, arrête ! J'en peux plus ! la suppliais-je
  • Mais je ne te demande pas ton avis, c'est pas avec un seul bib que tu vas tenir. D'abord, les bébés ça ne parle pas. On verra ça plus tard, pour le moment, c'est l'heure de ton biberon.
  • Mais je voudrais aller aux toilettes...
  • Pourquoi les bébés ont-ils des couches d'après toi ? Ils ne vont pas aux toilettes ! répondit-elle comme elle répondrait à un e n f a n t ou à un bébé...

Elle me remit le biberon dans la bouche et je réalisais alors qu'il me serait impossible de ne pas faire pipi dedans tant j'absorbais de liquide et que les toilettes m'étaient interdites ! Comme pour le premier, je tentais d'en renvoyer, mais c'était une bouteille à la mer....

La tête me tournait, je n'arrivais plus à parler, mes paupières devenaient lourdes. Je compris que Caroline avait du mêler un s o m n i f è r e au lait.

A suivre ICI mais cela devient HARD

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